Un bureau « augmenté », gage d'attractivité
Si l'ensemble des salariés ne passera pas au « full-remote » (au travail 100% à distance), un partage entre travail à distance et présence sur site se dessine. Dans ce monde où le salarié a le choix du lieu où il peut exercer son activité, le bureau doit proposer une expérience globale. Cette plus-value passe par l'ajout de fonctionnalités, qu'il s'agisse d'espaces de rencontres et d'échanges, d'équipements technologiques connectés ou de lieux de détente, comme les salles de sport. Une approche itérative qu'on retrouve, par exemple, au Métal 57, le nouveau siège de BNP Paribas Real Estate.
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La RSE pour s'épanouir sur son lieu de travail
La question du bien-être au travail est débattue depuis longtemps. En 2016, déjà, une étude* s'intéressait au sujet et estimait qu'un tiers des sondés accordaient une importance primordiale à la politique RSE. Depuis, le développement durable est devenu une des premières préoccupations des Français et les démarches RSE peuvent jouer un rôle capital dans la dynamique du lieu de travail. Végétaliser les espaces, créer un potager partagé ou mettre en place des démarches responsables (recyclage, réduction du gaspillage, etc.) participent ainsi à l'épanouissement de tous.
Des espaces fluides qui favorisent l'agilité
Au-delà de sa fonction, le bureau est aussi une incarnation de l'entreprise et des valeurs qu'elle souhaite porter. L'avènement du travail à distance renforce encore cette caractéristique. Convivial, innovant, modulable : l'immeuble du futur doit pouvoir s'adapter aux évolutions du monde tout en fédérant l'ensemble des salariés. Avec leur approche dynamique du bureau, le coworking ou le flex office permettent déjà cette hybridation des espaces de travail. Ils ouvrent aussi la voie à des lieux qui s'affirment comme des pôles d'activités variées, génératrices d'émulation.
Redonner confiance après la crise sanitaire
La crise sanitaire a altéré l'image du bureau, souvent désigné comme un lieu de contamination. La confiance des salariés dans leur lieu de travail en a forcément pâti. Selon un sondage**, 47% d'entre eux réclament plus de sécurité sanitaire. Pour recréer ce climat de sérénité nécessaire à une bonne productivité, le bureau de demain devra prouver qu'il ne comporte aucun risque pour la santé. L'hygiène, mais aussi la qualité de l'air ou de l'eau doivent donc être intégrées aux aménagements à travers les technologies connectées (capteurs, trackers de pollution, etc.), mais aussi l'affichage de normes aux référentiels orientés vers le bien-être, comme la certification WELL.
* Source : IFOP/Monster.
** Source : Opinon Way/Wojo.
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